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Parce que nous sommes dans une région et un village qui sont plus connus pour leurs vins que pour l’eau pétillante. Parce que les auteurs de romans policiers ne sont généralement pas des adorateurs de Saint-Yorre. Leurs héros non plus d’ailleurs. Quant aux lecteurs…, allez savoir ? Nous on sait, mais on ne balance pas.
Parce que les organisateurs du festival assument parfaitement leur tendance hydropathe et leur mauvais genre. D’ailleurs, n’y avait-il pas autrefois une cave coopérative en lieu et place de l’actuel centre culturel de Bédoin ? Parce que, quand vient le soir, pour qu’un ciel flamboie, le rouge et le noir ne s’épousent-ils pas?
Enfin, parce que polar rime avec pinard. Et ça, c’est l’argument imparable.
Dans le roman policier français, le vin aime à se mêler aux intrigues et accompagne souvent les protagonistes. Il incarne une version plus policée des alcools « hard boiled », quant il n’est pas lui même au centre de la narration dans le polar viticole.
Bédoin, niché au cœur de vignobles désormais renommés, bénéficie de la diversité et de la qualité offertes par ses nombreux caveaux. Cette évolution, alliant qualité et diversité, se reflète également dans le genre policier. Longtemps étiqueté comme « mauvais genre », à l’instar de crus méridionaux trop « populaires », le polar est devenu polymorphe. Il revêt des formes multiples telles que le thriller, le polar noir, ethnologique, historique, dystopique, acquérant ainsi sa légitimité littéraire au même rythme que les vins du Ventoux se voyaient attribuer leurs labels.
Dans le roman policier français, le vin aime à se mêler aux intrigues et accompagne souvent les protagonistes. Il incarne une version plus policée des alcools « hard boiled », quant il n’est pas lui même au centre de la narration dans le polar viticole.
Bédoin, niché au cœur de vignobles désormais renommés, bénéficie d’une richesse œnologique qui se singularise par la présence de nombreux caveaux où passion, patience et persévérance ont contribué à la naissance de l’AOC Ventoux.
Cette évolution, alliant qualité et diversité, se reflète également dans le genre policier. Longtemps étiqueté comme « mauvais genre », à l’instar de crus méridionaux trop « populaires », le polar est devenu polymorphe. Il revêt des formes multiples telles que le thriller, le polar noir, ethnologique, historique, dystopique, acquérant ainsi sa légitimité littéraire au même rythme que les vins du Ventoux se voyaient attribuer leurs labels.
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Un DUO VOCAL déjanté, avec la soprano Sylvie Marin et le chanteur Bruno Duchâteau de l’association Waf Waf production.
Mise en scène de Luc Chareyron.
Deux personnages se retrouvent autour du breuvage divin. Ils chantent le vin, mais ils parlent du partage et de l’amour avec un humour décapant. Leurs voix jouent l’une avec l’autre, la chanson et le chant lyrique s’harmonisent et s’associent dans ce spectacle dédié à Bacchus. Le répertoire est fait de compositions de Bruno Duchâteau ; de perles textuelles de la chanson (Juliette, Gérard Morel, Gaston Couté…) ; de grands airs lyriques (Gounod, Bizet, Verdi) réécrits pour embrasser la thématique et de tubes travestis, ainsi « Alexandrie, Alexandra » devient « Les vins d’ici, le vin est là » et le « Le tango corse » se transforme en « Rosé corse »…
Le pétillant des émotions, le charme d’un décalage clownesque, la surprise des univers qui s’entrecroisent, voilà les couleurs de ce spectacle aux arômes riches et variés.
Toutes les infos pour savoir comment se rendre au festival, nous écrire et connaître nos partenaires.
